Ingénieur paysagiste, David Trigolet veut joindre l’utile à l’agréable dans les jardins. Poussée par le vent de l’écologie urbaine, sa petite entreprise, Potag’home, progresse bien.

Mettre des capucines au milieu des oignons, de la bourrache dans le poireau, voire des carottes parmi les rosiers ou les cosmos.Voilà donc le genre de mixité que David Trigolet propose à sa clientèle depuis bientôt trois ans qu’il a créé son entreprise de paysagisme Potag’home.

« Cela permet de disposer de comestibles tout proposant quelque chose de joli, explique cet ingénieur sorti d’Agrocampus Ouest en 2011. Les associations limitent également les attaques de parasites ».